Guadalajara compte de très nombreuses églises. Combien exatcement ? Je ne sais pas. Mais, parmi elles, voici le temple Expiatoire. Il est situé juste derrière le bâtiment ancien de l'université.
En 1897, sous les ordres de l’archevêque Pedro Loza et Pardavé, fut posée la première pierre du Templo Expiatorio -église Expiatoire- aussi appelée Templo del Santísimo Sacramento -Eglise du Très Saint Sacrement.
Lorsque j'y suis passé, un mariage y était célébré.
mercredi 28 avril 2010
mardi 27 avril 2010
Guadalajara, avec plus de quatre millions d'habitants, est la deuxième ville du Mexique par la taille.
Ses industries technologiques de pointe font, qu'elle est appelée "la Silicon Valley" mexicaine.
Voici le bâtiment neuf de son université.
Ses industries technologiques de pointe font, qu'elle est appelée "la Silicon Valley" mexicaine.
Voici le bâtiment neuf de son université.
Les trois véhicules garés en bas font la navette avec l'aéroport tout proche.
Elles sont gratuites et le petit-déjeuner est compris dans le prix. Mais, comme pour la plupart des services au Mexique, il ne faut surtout pas oublier la propina, le pourboire. Comme en France il y a encore une trentaine d'années, il est environ de 15-20% de la note. S'il y en a une.
Sinon, c'est deux ou trois pesos. Dix à vingt centimes d'€. Les occasions de donner une propina sont multiples. Comme pour les deux gaillards qui se sont précipités sur le parking de l'aéroport de Guadalajara pour prendre nos bagages des mains et les placer dans le coffre de la voiture de l'amie venue nous chercher. Pas le temps de dire non.
Ses horaires sont à peu près ceux du métro parisien. Tarif : 3 pesos soit environ 3 centimes d'€.
Sur certaines lignes, les rames sont entièrement couvertes de publicité.
Alors que le reste de la ville présente souvent des signes de vétusté ou de pauvreté, les lignes que j'ai vues sont en très bon état.
Explication, elle séjourne dans des citernes, le plus souvent noires, placées sur le toit de chaque habitation. Petit château d'eau individuel. Résultat, peu de pression et l'achat par chaque foyer mexicain d'eau en bouteille pour la boisson.
C'est grâce à celui dans lequel nous étions descendu, l'hôtel Ramada, que nous avons fait la connaissance de Fernando.
Réponse avec cette photo prise du haut de la colline de Chapultépec. Le ciel y est blanchâtre et j'avais une sensation de picotement aux yeux.
Autre question fréquemment posée : le Mexique est-il un pays dangereux ? D'après le peu que j'en ai vu pour l'instant, je répondrai que le sentiment de danger est probablement comparable à celui que l'on peut éprouver, par exemple, dans certains quartiers de villes françaises comme Paris ou Marseille et leur banlieue nord.
lundi 26 avril 2010
Nous n'avons pas eut le temps pour le premier mais nous avons parcouru, au pas de course, le second.
Les Mexicains vouent une sorte de culte à leurs révolutions.
jeudi 22 avril 2010
Le vol
The big navion
La course avec le soleil
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